Trizziridonna
est un trio qui crée sa musique à partir des voix et
des percussions, accompagnées
par les cordes de la
guitare. Dans la mémoire ancestrale de la Sicile, il existe des
représentations des Triades de personnages féminins ; des centaines
de poteries représentant des prêtresses dévotes à Déméter qui
utilisaient la voix, les timbales et la cithare comme instruments
sacrés.
Ainsi
le répertoire des chants et des récits de TrizziRiDonna
se concentre sur le paysage sonore de la Sicile traditionnelle avec
une vision totalement féminine ; il raconte des tableaux d’un
monde ancien qui a laissé ses empreintes profondes sur le vif de
notre peau et recrée l’enchantement, des paysages intérieurs, des
souvenirs de cette terre et de son ancienne culture riche de sagesse
et d’humanité, de connaissance et de poésie.
Un
patrimoine qui a sombré dans l’oubli en un temps bref, éclipsé
par la société industrielle.
La
variété des musiques rappelle toutes les époques
des
cultures qui ont touché l’île – de celle gréco-bizantine à
l’arabo-berbère, des communautés juives aux cours normandes ou
aragonaises – jusqu’à former un dialecte musical méditerranéen,
comme le mélange de sicilien/espagnol/arabe qu’employaient les
marins, et qui fut appelé Sabìr.
Chant,
musique et récits s’influencent et se complètent réciproquement,
formant un ensemble indissoluble et harmonique.
Le
TrizziRiDonna sont : Barbara Crescimanno (chant, dance, tambour sur
cadre) ; Teresa Ferlisi (chant, guitare) ; Veronica Racito (chant,
danse). Avec le soutien et la maestria
de : Francesca Martino (technique vocale, arrangements)
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a
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KLUM
L’utopie est portée par la Poésie et le
désir commun de faire vibrer un lieu ensemble.
Les frontières sont ténues : celle du
soin (le mouvement spontané étant au départ un système chinois d’auto
guérison),
de la Musique Improvisée, terre
« insaisissable » que l’on tente de toucher du doigt et de la Poésie
qui ouvre bien des portes…
Du plus ancien, à ce qui n’a pas encore
fini de naître, il y a cet « instant artistique
éphémère,unique »,
cette résonance entre le dedans et le
dehors, une harmonie possible entre le ciel et la terre !!!!
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La
Fanfare ToTO, une invention des frères Locomotive
Approchez approchez mesdames messieurs,
les frères Locomotive vont vous enchanter
!
Cette fanfare est une illusion ! Une sorte de mirage
cinématographique…
Sept individus, sept frères, qui semblent tout droit sortis du fameux train qui
creva l’écran en l’an 1886 … Sept frères, donc, aux allures de notables, se
retrouvent ! Ce sont les frères Locomotive ! Leur musique ? Un joyeux
cocktail fruité aux douces saveurs du siècle dernier… Des mélodies
foraines, cinématographiques, des génériques de feuilletons, du vieux jazz, des
trads, des vieux airs et des compositions…
Une contre-façon bienveillante ou grinçante à la mode 1900 pour s’amuser à
remonter les pendules de l’histoire, et jouer à vous faire croire que c’était
mieux avant mais que demain ce sera pire ! Et même si aujourd’hui, c’est
difficile ! Notre devise :
« Ce qu’art ne peut … Hasard achève ! »
Avec les frères Locomotive les boniments
vont bon train : de la musique, des réclames et de nombreuses surprises sont au
programme. Et surtout, sachez une chose mesdames et messieurs :
« L'ennui ne nous connaît pas ! Il nous jalouse ! »
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Hélène Bardot, conteuse
et
Kiko Delmond, musicien :
VRAIS MENSONGEURS...
…
parce que l'Homme ment comme il respire
et qu'il respire de plus en plus mal !
L'envie,
l'urgence d'entrer en raisonance -on
n'est pas très sûrs de l'orthographe !- avec
notre époque nous a saisi à la gorge !
Alors
on a monté une volée de contes, une sorte
de spectacle pour dire le faux sans mentir
pour de vrai.
En
fait, « Vrais Mensongeurs » c'est une ébauche
de réponse poético-traditionnelle
à
cette interrogation qui nous taraude -comme elle doit tarauder,
certainement,
beaucoup d'orateurs (tribuns, prédicateurs, journalistes, conférenciers,
annonceurs, conteurs...)- quant aux mécanismes et aux pouvoirs
de la parole et plus précisément du mensonge.... à l'heure où le story-telling,
cette « arme de distraction massive » envahit le monde de l'entreprise,
l'univers politique et les espaces publics !
Et,
à travailler, à re-visiter notre mémoire enfantine, notre sagesse populaire, on
s'est rendu conte -là encore, on n'est pas très sûrs de l'orthographe !- que nous
sommes tous initiés au mensonge, depuis notre plus jeune age...
C'est
ce constat, ébauche de réponse à notre interrogation première, que nous
tenons à partager joyeusement avec nos concitoyens...
...grâce
à une volée de contes qui ne contient pas que des contes !!!
On
y trouvera, dans le désordre : des
menteries traditionnelles à peine revisitées,
des
comptines insolites et des fantaisies mises en musique, des
contes de sagesse, des
fatrasies cocasses, des
chansons écrites et composées pour l'occasion
ou
de courts extraits de « tubes », des
proverbes, des énigmes, des facéties
malicieuses... _______________________________________________________________________
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LassatilAbballari
Da sempre l’uomo, o
almeno da quando può essere definito tale, ha associato forme di comunicazione
acustiche a forme di comunicazione legate al movimento. Spesso era proprio il suono e il
ritmo musicale a scandire e coordinare azioni collettivamente organizzate che
coinvolgevano più individui.
Tra queste spiccava e
spicca più di ogni altra il ballo, concepito non solo come azione ludico-ricreativa, ma
come vero e proprio “media” per esprimere valori culturali, sociali, religiosi etc. Ovunque
l’uomo si trovi, sembra avere un innato bisogno di muoversi in maniera coordinata
seguendo un ritmo musicale. Potremmo addirittura affermare che questo possa essere
assunto come tratto identificativo e connotativo della nostra specie.
A tal proposito il progetto
“LassatilAbballari”, si prefigge, come scopo ultimo, proprio quello di spingere il
proprio pubblico al movimento, al ballo, allo sfogo delle proprie naturali pulsioni
attraverso precisi schemi culturali. Lasciandosi trasportare dalle musiche e dai ritmi di
danze tradizionali appartenenti al passato, ma spesso ancora vive nel presente, l’uomo
si riappropria del suo tempo, scandito non più da assillanti problematiche, ma dall’imperversare
ritmico e melodico di un tamburello, di una chitarra, di una fisarmonica,
di un flauto e perché no, anche di una zampogna e di una cornamusa scozzese. Il
pubblico, in tal modo, non assiste passivamente, ma diviene parte integrante, se non
fondamentale, dello spettacolo stesso.
Un viaggio, dunque,
che vi condurrà a passo di danza dai Balcani alla Galizia, dal Meridione d’Italia all’Irlanda,
passando attraverso Francia e Paesi Bassi
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Le geste trace, murmure, signe, dissimule ou met en lumière une émotion, un ressenti, une histoire passée ou présente. Il
est motivé par ce désir impérieux d’exprimer, là où le verbe échoue, ce
qui tapi au fond de soi ne saurait être évoqué autrement.
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